Le voisin prend une pause du web pour le temps des fêtes. C'est Noël ! Il faut parfois se le rappeler parce que le multiculturalisme niveleur du Canada tend à évacuer ce qui fait partie de notre patrimoine pour «contenter» des communautés culturelles qui n'en demandaient pas tant...
Je vous colle les paroles que ma fille chante à l'école (mais vous ne bénéficierez pas de sa belle petite voix rauque et douce):
«Enfants de Palestine ou enfants d'Israël,
D'Amérique ou de Chine en ce jour de Noël,
Que ton regard se pose
Sur la terre ou le ciel
Ne retiens qu'une chose
Il faut croire à Noël
Matin couleur de cendre ou matin d'arc en ciel
Qu'importe il faut attendre en ce soir de Noël
Que les fusils se taisent et répondent à l'appel
De cette parenthèse
Qui s'appelle Noël
Un jour viendra peut-être
Un jour au goût de miel
Où l'on verra paraître un oiseau dans le ciel
Aux plumes de lumiere
Un oiseau éternel
Colombe pour la terre
Un oiseau de Noël».
Joyeux Noël !
P.S. Je renonce à commenter plus que cela la nomination d'un coach unilingue anglais chez le Canadien de Montréal... Mais quand notre gouvernement, ses agences et ses ministères, bafouent notre propre langue; quand nos propres députés fédéraux élus au Lac St-Jean ou ailleurs, posent leurs questions en anglais à la Chambre des Communes; quand nous switchons à l'anglais dès que nous croisons un «Québécois pas de souche», pourquoi demander à la famille Molson de nous respecter?
Se respecter soi-même, puis exiger des autres, dans cet ordre.
Neighbor,
RépondreSupprimeryou're so goddam right !
..and a Merry Xmas, tabarnak !!!
yg
Un coach?Serait-ce un entraineur?
RépondreSupprimerJoyeux Noel quand même!
Pascal
Excellente remarque Pascal! Chez nous, l'entraîneur au hockey s'appelle trop souvent le «coach»... Et je croyais - sans doute à tort - que dans les circonstances, le mot unilingue revêtait un caractère bilingue...
RépondreSupprimer...un peu comme ...le Boss ( patron ) ou... ma Boss( épouse )
RépondreSupprimeryg