Dans la foulée de la crise financière de 2008 où les gouvernements des États se sont posés en sauveurs du Grand capital privé, on se disait en quelque sorte que le libéralisme «pur» qui prône le libre-jeu du marché allait en prendre pour son rhume et qu'une réglementation significative du secteur financier suivrait...
Le chroniqueur économique du Devoir Éric Desrosiers évoque dans ce papier qu'au contraire, malgré ses évidentes failles, les théories dominantes de la science économique des dernières années font un retour en force et qu'elles accélèrent en quelque sorte la pression sur la zone Euro (serait-ce le début de la fin pour cette monnaie unique ?) ainsi que sur les promesses «obamiennes», compromettant ses réformes, donc l'idée même que ce Président puisse s'inscrire dans la durée autrement que par le symbole d'affranchissement qu'il incarne...
Et François Brousseau dans le même journal qui parle de ces deux méga-riches que sont Warren Buffett et Bill Gates et qui dans leurs discours semblent favorables à une plus grande imposition des riches aux USA... Seraient-ils gênés d'être si riches et de si peu contribuer à la caisse commune ? Pendant ce temps, Obama s'est écrasé en prolongeant les exemptions d'impôts pour les plus riches...
pourquoi Obama s'est-il écrasé ?
RépondreSupprimerPar manque de conviction ?Certainement pas.
Pcq il était dans les cables ?...je crois que oui...
yg