Il faut lire ce papier de Denis Saint-Martin publié dans Le Devoir aujourd'hui.
On y explique comment Jean Charest ne comprend pas le sens ni toute la charge symbolique et politique de la fonction qu'il occupe. Dans le combat qui l'oppose à Marc Bellemare, il se sert plutôt de sa position privilégiée de 1er ministre pour mettre le système et les institutions à son service...
Mais faut-il s'attendre à plus d'un homme qui a toujours baigné dans la petite politique, sans jamais vraiment avoir d'idées fortes sinon qu'un préjugé favorable pour le privé et l'affaiblissement de l'État, en manoeuvrant et en louvoyant de façon souvent malhonnête ?
J'ai déjà parlé de M. Charest comme le «fossoyeur d'une passion». On pourra maintenant en rajouter et dire qu'il aura largement contribué à diminuer le prestige et la noblesse de la fonction de 1er ministre. Et dire que son travail de sape n'est pas terminé... Et qu'il s'évertue avec ses collègues-amis (Jacques Dupuis récemment puis maintenant J-M Fournier) à répandre ce discrédit partout au sein de la classe politique, seulement pour ne pas être le seul à subir les foudres de l'électorat ou de l'histoire... Jean Charest se dit sans doute, tant qu'à être discrédité, autant discréditer toute la classe politique: «The shit hits the fan» et M. le 1er (s)inistre en est le principal responsable...
La plus grande qualité d'un leader est d'identifier et de promouvoir un dauphin.
RépondreSupprimerAu PLQ, après Charest, le déluge.
Au Québec, après Charest, la libération.
yg
Je viens de relire le texte du Voisin:
RépondreSupprimer"le fossoyeur d'une passion".
Ce texte- écrit en avril 10- il y a 5 mois-aurait pu être écrit aujourdhui en pleine Commission Bastarache...
Bastarache?...un ancien joueur d'hockey ...??
pepedamour, alias yg