De retour de vacance. Acadia National Park, dans le Maine, puis Pohénégamouk, dans le Témiscouata (à la hauteur de Kamouraska, mais dans les terres...) Vélo, randos, wake board, etc.
Ce matin, premier retour sur «la vague» depuis mon incident du mois de mars... Cool.
Je vous suggère la lecture de ce papier de Solange Chalvin, une dame extraordinaire qui a côtoyé André Laurendeau, cet intellectuel fondamental qui avait développé sans doute l'une des visions les plus généreuses et réalistes de ce qu'aurait pu être le Canada, avant Trudeau...
Nous y reviendrons.
vendredi 30 juillet 2010
samedi 17 juillet 2010
Avant le décrochage estival.
Je repars sous peu en vacance, histoire de décrocher davantage... On se retrouvera plus régulièrement à la rentrée...
Acadia National Park, Maine.
Mais d'ici là, quelques suggestions. Lire:
Acadia National Park, Maine.
Mais d'ici là, quelques suggestions. Lire:
- Ce papier de Chantal Hébert, qui revient sur ce projet de Quebecor d'instaurer une chaîne d'info «conservatrice» de type Fox News au Canada...
- Cette chronique de Josée Blanchette, un petit bijou, parlant de ce français, Marc Roger (et de cette québécoise, Catherine Hébert, qui documente l'expérience) qui marche de Saint-Malo à Bamako - 5000 km - en offrant des lectures publiques aux quidams rencontrés sur son passage... Un griot blanc. Elle souligne également la parution du dernier numéro de Relations qui propose un dossier sur les silences... «Il est peu de réalité essentielle à l'existence qui soit si peu prise en compte que le silence. Pourtant, sans silence, pas de parole, pas de musique. Ni repos, ni sommeil. Le silence, c'est un peu la demeure des poètes, l'oxygène de la pensée et du jugement» Jean-Claude Ravet.
- Ce papier de Steve Proulx sur les vacances versus la routine...
- Ce compte-rendu du livre de Jean-Louis Servan-Schreiber (une «grande famille» en France...) sur le court-termisme qui nous assaille et nous empêche de penser et d'agir en fonction du long terme... Extraits : «Nos dirigeants sont de plus en plus soumis à une opinion publique de plus en plus volatile. (...) D'où l'avènement d'une politique de l'anecdote et de l'émotion qui ne traite plus des problèmes de fond, jugés électoralement peu payants. (...) De même pour la finance, où la recherche effrennée d'une rentabilité à court terme a causé les dégâts que l'on sait. (...) Même constat pour la publicité, qui véhicule le culte de la nouveauté et l'obsolescence programmée pour nous faire consommer toujours plus, et plus vite».
- Le dernier numéro du média gratuit Espaces, dispo un peu partout, offre un Dossier survie fort intéressant : plein de conseils judicieux pour les moments où les situations deviennent «limites». Quand la débrouillardise devient une exigence. On y suggère plein de trips à faire à vélo ou à pied et on y raconte des histoires hors de l'ordinaire... Voir à ce sujet le projet de 4 passionnés de montagnes québécois qui partent pour le Manaslu (8 156 m), du côté népalais.
mercredi 14 juillet 2010
La rigidité de Stephen Harper (4)
Hélène Buzzetti du journal Le Devoir est une des journalistes qui fait ressortir le plus clairement la rigidité du gouvernement Harper. J'ai discuté ici, ici et là de ce radicalisme des objectifs (loi et ordre, droit à l'avortement, «évangélisme politique» et vision doctrinaire des problèmes politiques) et des moyens (façon de gouverner, rapports avec les autres sphères du pouvoir et avec la société civile, etc.) au sein du Parti conservateur de M. Harper.
Si vous lisez l'article de Buzzetti de ce matin, vous constaterez que le projet du gouvernement Harper de mettre fin au caractère obligatoire du recensement engendre une protestation multiforme : les organismes de charité, les groupes communautaires, les centres de recherche universitaires, le milieu de la finance, le Vérificateur-Général, le Commissaire aux langues officielles, etc. Tous s'inquiètent de la valeur future des statistiques du recensement si celui-ci n'est rempli que par des volontaires... L'échantillon à l'étude ne serait alors plus représentatif... Et d'entendre le ministre Baird dire que son gouvernement mettra en circulation davantage de questionnaires longs pour pallier à la disparition du caractère obligatoire... Un p'tit cours de Méthodologie peut-être ?
En fait, il semble que ce projet participe de la volonté et de l'inclination naturelle du gouvernement Harper à camouffler ou rendre opaque l'information au public. Comment justifier davantage d'intervention de l'État dans le champ social et économique si nous n'avons pas accès aux principaux indicateurs de développement de notre société ?
Le gouvernement Harper est inquiétant ! Et le paysage politique canadien le devient tout autant, puisque l'opposition étant fortement éclatée, elle laisse de la place à ce courant idéologique radical du Canada pour s'installer au pouvoir, avec tout ce que ça comporte comme métastase sur notre démocratie, nos droits et libertés (avez-vous entendu parlé du G-20 ?) et notre droit à l'information...
Si vous lisez l'article de Buzzetti de ce matin, vous constaterez que le projet du gouvernement Harper de mettre fin au caractère obligatoire du recensement engendre une protestation multiforme : les organismes de charité, les groupes communautaires, les centres de recherche universitaires, le milieu de la finance, le Vérificateur-Général, le Commissaire aux langues officielles, etc. Tous s'inquiètent de la valeur future des statistiques du recensement si celui-ci n'est rempli que par des volontaires... L'échantillon à l'étude ne serait alors plus représentatif... Et d'entendre le ministre Baird dire que son gouvernement mettra en circulation davantage de questionnaires longs pour pallier à la disparition du caractère obligatoire... Un p'tit cours de Méthodologie peut-être ?
En fait, il semble que ce projet participe de la volonté et de l'inclination naturelle du gouvernement Harper à camouffler ou rendre opaque l'information au public. Comment justifier davantage d'intervention de l'État dans le champ social et économique si nous n'avons pas accès aux principaux indicateurs de développement de notre société ?
Le gouvernement Harper est inquiétant ! Et le paysage politique canadien le devient tout autant, puisque l'opposition étant fortement éclatée, elle laisse de la place à ce courant idéologique radical du Canada pour s'installer au pouvoir, avec tout ce que ça comporte comme métastase sur notre démocratie, nos droits et libertés (avez-vous entendu parlé du G-20 ?) et notre droit à l'information...
mardi 13 juillet 2010
Lise Bissonnette au pouvoir !
L'Actualité (août 2010) propose une entrevue avec Lise Bissonnette qu'il vous faut lire si vous croyez encore à la culture québécoise, contrairement à la Directrice de la programmation du Festival d'été de Québec (ben continue à croire que seuls les autres peuvent être Big, Elvisse Grattonne !) En finale de cette belle entrevue, L'ex-Directrice du Devoir puis de La Grande Bibliothèque propose que l'on s'investisse collectivement pour rendre le Québec beau !
Extraits : «Il faut bien constater que le Québec n'est pas beau. Quand on arrive dans le Maine ou dans le Vermont, on se dit : C'est plus beau chez eux. On a laissé faire n'importe quoi au Québec : des centres commerciaux au bord de la mer, les entrées de certaines villes qui sont n'importe comment... Il s'est fait beaucoup de choses au cours des dernières années, les gens essaient de réparer un peu les erreurs du passé. Je pense qu'il y aurait là un projet collectif et artistique extraordinaire : redonner une beauté au Québec ». (fin de l'extrait)
Je ne peux qu'être complètement en accord, tant avec le diagnostic qu'avec la solution. Une entrevue (je ne trouve pas le lien électronique) fort intéressante, à lire.
Extraits : «Il faut bien constater que le Québec n'est pas beau. Quand on arrive dans le Maine ou dans le Vermont, on se dit : C'est plus beau chez eux. On a laissé faire n'importe quoi au Québec : des centres commerciaux au bord de la mer, les entrées de certaines villes qui sont n'importe comment... Il s'est fait beaucoup de choses au cours des dernières années, les gens essaient de réparer un peu les erreurs du passé. Je pense qu'il y aurait là un projet collectif et artistique extraordinaire : redonner une beauté au Québec ». (fin de l'extrait)
Je ne peux qu'être complètement en accord, tant avec le diagnostic qu'avec la solution. Une entrevue (je ne trouve pas le lien électronique) fort intéressante, à lire.
lundi 12 juillet 2010
Obama s'est-il écrasé ?
Le Président Barack Obama a-t-il déjà accompli le maximum de ce qu'il avait à accomplir ? L'immense promesse de changement suscitée par sa candidature puis par sa victoire est-elle en train de s'écraser lamentablement ?
En tout cas, la catastrophe dans le Golfe du Mexique se prolonge, comme un supplice (ce n'est pas le supplice de la goutte, mais celui des millions de millions de barils). Et Obama semble un Président faible et impuissant devant l'ampleur du désastre. Il aurait au moins réussi jusqu'ici à forcer BP à constituer un fonds de 20 milliards de $ pour indemniser les victimes directes de la marée noire... Mais la plupart de ses interventions sont apparues déphasées, quelques fois populistes ou alors axées sur le style professoral du Président : «Let's make this crisis a teachable moment for America ! » Selon lui, les États-Unis doivent profiter de cette catastrophe pour diminuer leur dépendance au pétrole, etc. Reste que le mal se poursuit et se prolonge et que l'image du Président en prend pour son rhume...
Et depuis mon retour de vacance, J'ai vu qu'Obama avait reçu Benyamin Netanyahou à la Maison Blanche et que les tensions entre les deux hommes sont cette fois disparues du discours... Comme si Israël avait encore une fois réussi à démontrer sa capacité à infléchir la politique étrangère des USA... Obama le prix Nobel de la paix s'écraserait-il lui aussi devant le poids du lobby israélien ? Irait-il jusqu'à compromettre à moyen terme la sécurité nationale des USA pour satisfaire des impératifs électoraux à court terme ? Il faut rappeler que les élections de mi-mandat ont lieu en novembre prochain aux USA... Et Obama s'est toujours présenté comme un pragmatique, alors... L'espoir est-il encore permis pour ce Président ?
Espérons en tout cas qu'il réalise plus que les seules réformes de la santé et des marchés financiers... (Ce qui est déjà quelque chose, malgré ce qu'en disent les détracteurs d'Obama...).
En tout cas, la catastrophe dans le Golfe du Mexique se prolonge, comme un supplice (ce n'est pas le supplice de la goutte, mais celui des millions de millions de barils). Et Obama semble un Président faible et impuissant devant l'ampleur du désastre. Il aurait au moins réussi jusqu'ici à forcer BP à constituer un fonds de 20 milliards de $ pour indemniser les victimes directes de la marée noire... Mais la plupart de ses interventions sont apparues déphasées, quelques fois populistes ou alors axées sur le style professoral du Président : «Let's make this crisis a teachable moment for America ! » Selon lui, les États-Unis doivent profiter de cette catastrophe pour diminuer leur dépendance au pétrole, etc. Reste que le mal se poursuit et se prolonge et que l'image du Président en prend pour son rhume...
Et depuis mon retour de vacance, J'ai vu qu'Obama avait reçu Benyamin Netanyahou à la Maison Blanche et que les tensions entre les deux hommes sont cette fois disparues du discours... Comme si Israël avait encore une fois réussi à démontrer sa capacité à infléchir la politique étrangère des USA... Obama le prix Nobel de la paix s'écraserait-il lui aussi devant le poids du lobby israélien ? Irait-il jusqu'à compromettre à moyen terme la sécurité nationale des USA pour satisfaire des impératifs électoraux à court terme ? Il faut rappeler que les élections de mi-mandat ont lieu en novembre prochain aux USA... Et Obama s'est toujours présenté comme un pragmatique, alors... L'espoir est-il encore permis pour ce Président ?
Espérons en tout cas qu'il réalise plus que les seules réformes de la santé et des marchés financiers... (Ce qui est déjà quelque chose, malgré ce qu'en disent les détracteurs d'Obama...).
dimanche 11 juillet 2010
La Coupe du Monde et le conquérant hollandais...
Les Pays-Bas ont perdu à la Coupe du Monde. Ascension puis, chute de l'ancien colonisateur sud-africain. En effet, ceux qui ont implanté l'Apartheid en Afrique du Sud étaient d'origine hollandaise...
Et si vous avez remarqué, l'équipe néerlendaise était cette année davantage composée de «Van Bruken » et autres noms à consonnances d'origine. Elle comportait moins d'«étrangers...»... Signe que la crise du multiculturalisme qui sévit aux Pays-Bas a eu des répercussions sur la composition de l'équipe nationale...
Les recoupements entre sport et politique sont nombreux, mais l'ironie de ce retour-raté du colon blanc hollandais me fait sourire...
Et si vous avez remarqué, l'équipe néerlendaise était cette année davantage composée de «Van Bruken » et autres noms à consonnances d'origine. Elle comportait moins d'«étrangers...»... Signe que la crise du multiculturalisme qui sévit aux Pays-Bas a eu des répercussions sur la composition de l'équipe nationale...
Les recoupements entre sport et politique sont nombreux, mais l'ironie de ce retour-raté du colon blanc hollandais me fait sourire...
République «démocratique» du Congo : 50 ans d'indépendance.
Nous célébrons les 50 ans d'indépendance de plusieurs pays africains en 2010. La BBC présente ce diaporama de 50 visages associés à de courts récits pour commémorer l'événement.
L'énigme du retour.
J'ai terminé L'énigme du retour, de Dany Laferrière. C'est beau, coloré et reposant comme lecture. Laferrière y déploit un style unique, magnifique. La structure du récit impose un rythme lent puisque la majorité des chapitres sont écrits sous formes de strophes, comme des haïkus japonais. On a souvent l'impression de lire de la poésie mais ce n'en est pas formellement. On atteint un état de béatitude grâce à la rythmique et au portrait des gens du pays fait par l'auteur.
C'est comme une contemplation de la société haïtienne, très loin du misérabilisme ambiant à propos de ce pays depuis le fameux tremblement de terre. Par son parcours et ses rencontres, le narrateur démontre qu'un pays est d'abord porté par des gens et par une culture. Dany Laferrière a atteint une notoriété sans précédent et gagné le prix Médicis pour ce livre. Malgré toutes les controverses entourant l'attribution des prix littéraires, je ne peux qu'être d'accord pour honorer ce livre qui est un très grand livre, écrit par un grand écrivain.
C'est comme une contemplation de la société haïtienne, très loin du misérabilisme ambiant à propos de ce pays depuis le fameux tremblement de terre. Par son parcours et ses rencontres, le narrateur démontre qu'un pays est d'abord porté par des gens et par une culture. Dany Laferrière a atteint une notoriété sans précédent et gagné le prix Médicis pour ce livre. Malgré toutes les controverses entourant l'attribution des prix littéraires, je ne peux qu'être d'accord pour honorer ce livre qui est un très grand livre, écrit par un grand écrivain.
samedi 10 juillet 2010
HHhH (2)
Reinhard Heydrich
De retour du lac Clair (Quoi ? il faisait chaud à Montréal ? Ah bon), je rends compte d'une lecture formidable et fort instructive : HHhH de Laurent Binet. Je vous ai déjà parlé de ce livre ici.
L'histoire fait revivre 2 parachutistes, un Tchèque et un Slovaque, engagés pour assassiner Reinhard Heydrich, un haut-gradé du IIIe Reich, planificateur de la Solution finale. Le titre du livre évoque une expression qui courait au sein de la hiérarchie nazie : «Himmlers Hirn heist Heydrich - Le cerveau de Himmler s'appelle Heydrich». Ce «roman factuel» est une incursion fascinante (et inquiétante) dans le nazisme, et on apprend combien les Tchèques ont souffert durant l'occupation et l'ascension nazie. L'écriture est simple et efficace et le procédé de l'auteur est très intéressant : Tous les personnages et les faits sont avérés, et son récit est entrecoupé de réflexions sur la place et le rôle du narrateur face aux événements...
Pour ceux qui veulent s'imprégner de cette période extrêmement trouble de l'histoire, je le suggère fortement, c'est un des livres marquants que j'ai lu ces dernières années. Il me donne le goût de plonger dans Les Bienveillantes de Jonathan Littell...
De retour du lac Clair (Quoi ? il faisait chaud à Montréal ? Ah bon), je rends compte d'une lecture formidable et fort instructive : HHhH de Laurent Binet. Je vous ai déjà parlé de ce livre ici.
L'histoire fait revivre 2 parachutistes, un Tchèque et un Slovaque, engagés pour assassiner Reinhard Heydrich, un haut-gradé du IIIe Reich, planificateur de la Solution finale. Le titre du livre évoque une expression qui courait au sein de la hiérarchie nazie : «Himmlers Hirn heist Heydrich - Le cerveau de Himmler s'appelle Heydrich». Ce «roman factuel» est une incursion fascinante (et inquiétante) dans le nazisme, et on apprend combien les Tchèques ont souffert durant l'occupation et l'ascension nazie. L'écriture est simple et efficace et le procédé de l'auteur est très intéressant : Tous les personnages et les faits sont avérés, et son récit est entrecoupé de réflexions sur la place et le rôle du narrateur face aux événements...
Pour ceux qui veulent s'imprégner de cette période extrêmement trouble de l'histoire, je le suggère fortement, c'est un des livres marquants que j'ai lu ces dernières années. Il me donne le goût de plonger dans Les Bienveillantes de Jonathan Littell...
samedi 3 juillet 2010
mon programme de lecture...
Je pars en vacance et j'apporte avec moi : Le chevalier inexistant de Italo Calvino; Les mémoires de Raymond Aron (je cherche des textes pour mes étudiants...); La petite et le vieux de Marie-Renée Lavoie; Americain death trip de James Ellroy (autre traducteur...); Les réformistes de Éric Bédard... Rassurez-vous, je ne réussirai pas à tout lire, mais j'aime avoir le choix et entretenir plusieurs lectures en parallèle. Par exemple, en ce moment, je déguste L'énigme du retour de Dany Laferrière et je dévore HHhH de Laurent Binet.
On s'en reparle.
On s'en reparle.
Obama parmi les Présidents.
Lire ce billet de Richard Hétu traitant d'un sondage questionnant divers «experts» sur la présidence Obama par rapport à celle de ses 42 prédécesseurs...
vendredi 2 juillet 2010
Joseph Arthur... encore 5 soirs.
Il reste 5 spectacles de Joseph Arthur, invité pour 10 soirs consécutifs dans le cadre du Festival de Jazz, rue Mt-Royal, O Patro Vys.
Ma blonde y est allée 2 fois. Chaque soir étant différent, on peut explorer avec lui son répertoire riche et toujours en mouvement. Et chaque spectacle étant enregistré puis disponible en CD, je me suis procuré celui d'hier... Pour ceux qui veulent entendre une expérience unique...
Ma blonde y est allée 2 fois. Chaque soir étant différent, on peut explorer avec lui son répertoire riche et toujours en mouvement. Et chaque spectacle étant enregistré puis disponible en CD, je me suis procuré celui d'hier... Pour ceux qui veulent entendre une expérience unique...
jeudi 1 juillet 2010
Bonne journée nationale du déménagement !
source de la photo
Il paraît que la Reine est au Canada... Mais elle n'est pas au Québec, terre qui, on l'oublie, a une tradition républicaine ! Ici, c'est la journée nationale du déménagement et une Chaire de recherche en ethnologie de l'Université Laval vous en parle ici.
Et si vous voulez savoir pourquoi le 1er juillet 1867 ne suscite pas historiquement beaucoup d'enthousiasme et de célébration au Québec, lisez Lisée.
Il paraît que la Reine est au Canada... Mais elle n'est pas au Québec, terre qui, on l'oublie, a une tradition républicaine ! Ici, c'est la journée nationale du déménagement et une Chaire de recherche en ethnologie de l'Université Laval vous en parle ici.
Et si vous voulez savoir pourquoi le 1er juillet 1867 ne suscite pas historiquement beaucoup d'enthousiasme et de célébration au Québec, lisez Lisée.
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